De même que j'avais fait une introduction à cette section « Nouvelles », il me semblait nécessaire d'écrire une post-face. Ne serait-ce que, pour ceux que cela a intéressé, de regrouper les interjections très "mal élevées" de ce trublion que papa Sigmund a nommé le «Ca » !
Mais le plus important ne me semble pas cette tentative d'explication.
Il y avait dans l'introduction un vers de Charles Baudelaire... Après ces mises au point, voici donc la fin du poème...
Il est maintenant plus que probable que je n'écrirai plus de contes ou de nouvelles... peu importe, seul compte le plaisir, ou plutôt la délivrance que leur écriture m'a apportée. Et si vous les avez lues, je vous en remercie.
Alain Vanet

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